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| Sujet: Un peu perdu en arrivant. Dim 25 Jan - 16:54 | |
| Senmeï avait fait son voyage de nuit et tout c'était bien passé. Elle arriva à l'académie le matin. Ses parents ne l'avaient pas accompagnés et elle avait donc voyagé seule. Senmeï avait emporté une grosse valise avec ses robes et ses affaires personnelles. Elle avait aussi un petit sac à la main avec diverse chose dedans. Tout cela semblait plutôt lourd mais Senmeï les portait sans aucune difficulté.
Comme le soleil tapait assez fort aujourd'hui, Senmeï se protégeait sous une ombrelle noir décorée de broderies argentées. Elle était habillée dans sa robe préférée, un tissu noir en soie avec des rubans argentés sur les manches. La robe lui arrivait juste en dessous des genoux et formait une jupe bouffante. Dans son dos était attaché un gros nœud en dentelle tout aussi noir. Les manches de la robe étaient longues et les finissions aux poignets étaient faite dans la même dentelle que le nœud dans son dos. Elle portait des bottes noir avec un laçage croisé derrière. Les cheveux de Senmeï étaient attachés en couette haute et un ruban rouge était noué autour du chouchou. Seule quelques mèches étaient restées libre autour de son visage. Elle n'avait pas mis son uniforme car on ne le lui avait pas encore remit.
Senmeï venait d'arriver dans les grands jardins autour de l'académie. Elle ne savait pas trop où elle devait aller. Alors elle prit le temps de regarder un peu le paysage. Les jardins était organisé en parcelle de fleures. Certaine des parcelles comportaient des fleures dans les même tons de couleur, d'autres en revanche étaient multicolore. La rosé matinal étincelait aux rayons du soleil, et tout ce paysage était un régale pour les yeux. Senmeï continua à avancer sur le chemin, encadrée de part et d'autre des fleures. Elle s'arrêta devant un parterre de fleures rouge comme le sang, c'était toutes des roses. Senmeï s'agenouilla devant les roses et en cueillit une et l'amena sous son nez pour en sentir le parfum. Elle se releva et garda la rose en main, tendis que son autre main tenait toujours l'ombrelle au dessus de sa tête. |
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