Le sang de la princesse [P.V Fatsatsu Kiryû-Hiô]

Zero Kiryû, un chargé de discipline, parcourait les couloirs depuis déja une longue demi-heure. Aujourd'hui, il devait se rendre a la Bibliothèque de l'académie Cross pour étudier les notes que Yûki avait prise pour lui lors des cours où il n'était pas présent. Il se dirigea enfin, sans conviction, vers les portes de cette bibliothèque occuppée par des livres poussiéreux et quelques élèves qui aimaient, semblait-il, se réfugier ici, où personne ne pouvait vraiment les attaquer sur leur physique. C'était ainsi, c'était tou. Le jeune homme entra d'un pas lent et assuré dans la grande salle. Il jeta un regard frid a la bibliothéquaire et aux quelques élèves qui osaient le regarder. Puis, Zero s'assit sur une table. Même si il était grand, même si il était fort, Zero était très silencieux et discret. Il était donc difficile de parfois le remarquer dans une pièce. Il sortit les notes de son sac et se mit a les lire. Des notes de mathématiques...C'était plutôt facile. Yûki avait plus de misère avec ses notes. Ca paraissait, même quand ele écoutait le professeur. Mais bon... Tout en lisant, il ne vit pas le temps passer. La nuit tombait et Zero aimait beaucoup la solitude, voilà pourquoi il restait dans cette bibliothèque maintenant déserte. Il alla dans une allée et regarda plusieurs livres. Du coin de l'oeil, il vit que quelqu'un se rapprochait de lui....

Fatsatsu avait fini sa séance de skate, et apres avoir manger et prit une bonne douche, il décida d'aller a la bibliothèque pour faire ses devoirs.
Il prit ses affaire et se dirigea à l'endroit souhaité.
Quand il entra, il n'y avait personne ... personne sauf l'un de ses cousins, Zero.
Il était justement dans le rayon où Fatsatsu voulez aller.
Se rappelant de ce qu'il s'était passé la nuit passé, se rappelant de se regard plein de haine qu'il lui aait lançé, le jeune sorcier de haut niveau eut un air triste en le regardant.
Il baissa la tête et s'approcha de lui.
Mais il ne s'arréta pas en face de lui.
Il le contourna et posa ses affaire sur une table en bois situé dans le rayon et prit des livre dans la bibliothèque.
Une fois assis, il commença à faire ses devoirs en silence, le regard toujours triste, et jettantde temps a autre des petits regard très discret vers son cousin.

Après avoir trouvé un livre qui semblait un peu plus interressant que les autres, Zero se retourna pour voir qui venait d'entrer dans la bibliothèque. C'était Fatsats Kiryû-Hio, un jeune homme malheureux qui s'avérait être le cousin du chargé de discipline. Zero aurait pu être sympathique avec lui. Mais Fatsatsu, malheureusement pour lui, avait été adopté par Shizuka Hio, la vampire qui avait tué et kidnappé, pouvait-on dire, les membres de sa famille. Elle avait pris Ichiru, le frère jumeau de Zero. Elle avait prit le plus faible des deux. Zero voyait bien que son cousin lui jettait des regards discrets, surement pour qu'il ne se rende pas compte qu'il était observé. Mais, il le savait. Il le voyait. Zero, le dos bien droit, fixait son cousin de ses yeux violets profonds sans compassion. Son livre dans la main gauche, il était habillé des pantalons de son uniforme et d'une chemise blanche, simple. Il continua a regarder Fatsatsu, avec un air sans émotions, comme il était si habitué de le faire. Si ca n'avait pas été de Shizuka, Zero aurait certainement aimé tout savoir sur le passé de Fatsatsu, mais ce passé lui rapellerait le sien. Voyant que son cousin était triste, Zero ne s'approcha pas, mais se contenta de la fixer. Son regard n'avait plus autant de haine que le soir où il avait découvert qu'il était son cousin, mais quelques étincelles reflétaient toujours les yeux de Zero. Le jeune home dit, sur un ton glacial, qu'il utilisait avec tous les autres élèves:

-Si tu veux me regarder, alors fais-le. Mais ne pense pas que je n'ai pas remarqué que tu m'observais.

Il s'avanca du bureau, son visage était maintenant plus éclairer par la lumière qui était sur le bureau de travail de Fatsatsu. Zero voyait bien que ce dernier se sentait triste, mal. Il voulait savoir pourquoi. Mais, en même temps, il ne voulait pas entendre parler son cousin de la vampire qui avait tué sa famille comme ne déesse. Il recula un peu, vers la sortie. Tout en ce demandant si Fatsatsu allait dire ce qu'il voulait tant dire...

Fatsatsu fini enfin ses devoirs et commença à concocter un "Cours de Magie" à l'aide de ses anciens cours de magie et ses vieux grimoires qu'il sortit de ses affaires, pour une certaine personne qui lui avit demander s'il pouvait lui apprendre ses nombreux savoir faire en magie noire et blanche.
Lorsque son cousin lui fit remarquer qu'il voyait ses coups d'oeils qui étaient censés être discret, le jeune Mage n'en fut pas surpris.
Il leva alors les yeux vers son cousin qui s'était approcher non loin de lui, et laissant tombé ses "cours de Magie", il le regarda un instant.
Ayant garder son air triste, il init par lui demander doucement.

Pourquoi?
Pourquoi me rejettes-tu?
Que diable t'ai-je fait?

Il avait l'impression que tout ce monde se dérobé sous ses pieds.
Ce sentiments d'abandon qu'il avait eut pendant un certain temps avant de dispaître revint au galop.
Il avait l'impression que plus rien ne redeviendrait comme avant, du tant ou tout les 4, Kate, Zero, Ichiru et lui-même jouait ensemble étant enfant.
Ses yeux brillaient de par la tristesse et se fameux sentiment de rejet qui l'envahissait.

Zero s'arrêta quand son cousin se mit a lui parler. Le chargé de discipline fit demitour et s'approcha de la table. Il s'assit en face de Fatsatsu et écouta son cousin avec la même expression sur son visage. Il regardait les yeux de Fatsatsu avec aucune émotion. Son regard était percant, froid et dur. Le jeune homme prit le temps de penser avat de répondre. Pourquoi le rejetait-il, en fait? Ce n'était pas parce qu'Il avait été prit en charge par la vampire qui avait tué sa famille, car cela n'était certainement pas de sa faute. Zero fixa le bureau un moment et dévisagea Fatsatsu. La haine hantait son coeur, tandis que son cousin, c'était la tristesse qui le hantait. Zero dit, en pesant chacun de ses mots:

- Pour la simple raison que tu la vois comme ta mère.

Le coeur de Zero se mit a battre rapidement. Il avait perdu son père et sa mère. Mais, elle avait aussi son frère et son cousin sous son emprise. Cete satanée e vampire de sang pure. Il s'était juré qu'un jour, il la tuerait. Devant Ichiru, devant Fatsatsu. Cela le libérerait. Le garcon fixait Fatsatsu droit dans les yeux. Son regard était a glacer le sang. Avant que son cousin puisse parler, il prit, encore une fois, la parole:

-Je ne te rejette pas, Fatsatsu. Je te méprise. Après tout ce qu'elle a fait. Elle a tué mon père, ma mère...Elle a même eut l'audace de prendre mon frère. Et elle joue avec moi comme si j'étais une vulgaire poupée de chiffon. Elle me fait souffrir. Et toi, tu la vois toujours come une belle vampire...

Il s'arrêta là. Il avait trop parlé, ce qui n'était pas dans ses habitudes. La gorge du garcon se serra, par les larmes qu'il empêchait de faire couler. Il regardait Fatsatsu, attendant des explications. Son regard était maintenant remplie par la haine.

Fatsatsu écouta son cousin avec attention.
Quand il eut fini, il baissa doucement la tête, cherchant ses mots mais il mit un certain temps car des larmes se mirent à couler sur ses joues.
Il commençait a avoir mal au coeur.
Il avait l'impression qu'il allair replongé dans sa déprime et qu'il allait recommençait a avoir des crises de spasmophilie, chose qu'il n'avat plus eut depuis un bon bout de temps et qu'il en était content car cela était très douloureux.
Il finit par lui dire alors doucement.

Je ... je n'avais pas envie d'aller dans un orphelinat ... et ... après ce qu'il s'est passé, ça ma tromatisé t san le vouloir j'ai oublier qui était mes parents ... Zero ... je me rappelle plus de leur visage ... je ... je ne vouais pas grandir sans parents ... je ne voulai pas dire "je n'a plus de parant" si on me demander qui ils éaiens et ce qu'ils faisaient dans la vie ...

Il releva doucemet son visage en larmes vers Zero et continua.

Tu aurais aimé que je soit délaissé par tout le monde?
C'est ça?

Zero regarda froidement son cousin qui pleurait. Le chargé de discipline n'aimait pas voir un membre de sa famille pleurer, mais en ce moment, il n'avait pas du tout le choix. Il continua de regarder Fatsatsu sans émotions quand celui-ci lui raconta pourquoi il avait voulut prendre Shizuka comme sa mère. Zero resta de glace quand il lui demanda si c'était ce qu'il voulait. Le jeune homme dit:

- Non. Mais c'est-ce que j'ai vécu. Tu aurais pu être adopté par quelqu'un d'autre...je ne t'aurais pas délaissé. Mais, en ce moment, c'est toi qui me délaisse. Pas le contraire.

Zero ne disait pas ca pour faire pitié, au contraire. Il voulait faire comprendre a Fatsatsu qu'a cause de cette vampire, il n'avait plus de famille.

-Tu fais la même chose qu'Ichiru.

Son ton était encore plus glacial qu'avant.

Fatsats resta un moment silencieux sans rien dire.
C'est alorsqu'ileut un tilt et lui dmanda gentiment en relevant la tête et s'essuyant les larmes.

Zero, je veux tout faire pour que tu me considère comme quelqu'un de ta famille à part entière, et non un traitre qui aurait pactisé avec l'ennemi.
je ne suis pas mort et je ne suis pas devenu vampire, alors ... je t'en supplie!
Dis moi ce que je pourrais faire pour te demander pardon, pour que tu ne me méprise plus!!!
S'il te plaît!

Il le regarda avec des yeux brillant des larmes qui restaient d'avoir pleurer.

Zero regarda Fatsatsu droit dans les yeux. Il lui demandait ce qu'il pouvait bien faire pour que le chargé de discipline l'accepte. C'était simple. Il n'y avait qu'une chose a faire...Non, en fait, il y en avait plusieurs. Ou bien il pouvait laisser Zero la tuer, ou bien il devait renier quie Shizuka était sa mère. L'oublier. Pour toujour. Le jeune homme regardait froidement son cousin quand soudain un éclat de compassion...et même d'amour fraternelle, traversa ses yeux. Mais il reprit rapidement son visage sans émotions. Il regarda son cousin et dit froidement:

-Quand j'aurais la chance, laisse-moi faire.

Il savait très bien que Fatsatsu comprendrait le sens de sa phrase.